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Geekerie

Démontage du Seagate Barracuda 3TB

Impossible à faire avec un Western Digital. WD ne tombe pas en panne.

Seagate, par contre…

Petit prince, dessine-moi un servo-moteur de tête de lecture de disque dur

Servo-moteur aimanté de tête de lecture, faces supérieure et inférieure

Entretoise de plateau et interface SATA/alimentation

Bras et tête de lecture + interface

Vectorisation à partir des dessins (Inkscape)

v1

v2

Merci à Cyril pour son aide précieuse sur les pièces aux formes WTF et son super boulot de vectorisation !

Impression 40x50cm

8 euros

Cadre verre avec effet 3D

20 euros

Découpe et fixation de la vitre arrière plexiglass

8 euros la plaque de plexiglass (à découper soi-même)

Plexiglass ébréché 2 fois à la découpe en bas ! Navrant le bricolo du dimanche

Fixation provisoire du plexiglass

Plexiglass abimé à la scie à métaux

Vitre avant et vitre arrière

Avant en verre, arrière en plexiglass (préféré pour la colle)

Les baguettes de fixation

Bâtonnets en plexiglass pour faire des glaces (1 euro les 100 de 10cm), à découper à 15mm.

Collage des baguettes

Les marques indélébiles sur le plexi, c’est la colle qui a dégueulé ou la pièce qui a bougé

Bras des têtes de lecture sur un plateau de 1TB

Bras et têtes de lecture

Interface SATA et alimentation

Parfois la colle marque le plexi, parfois c’est elle qui décide où ça collera

Il est libre, Max !

Les têtes de lecture d’un disque dur mécanique “flottent” à 5 nanomètres au dessus de la surface des plateaux, qui eux-mêmes tournent à 7200 tours par minute. Un cheveu, c’est 100.000 nanomètres. On convient ainsi depuis 4 décennies qu’un disque dur mécanique, c’est comme :

Ici, le bras reste fonctionnel et peut encore pivoter sur son unique axe en plexiglass au dessus des plateaux. Il est fixé à +/- 0.3 mm (je n’ai pas pu faire mieux lors de la découpe des bâtonnets à la tenaille). Pour l’anecdote, c’est dorénavant comme si notre fameux Boeing lancé à pleine vitesse faisait du rase-mottes à 2cm du sol avec une précision de plus ou moins… 1 kilomètre et demi 🙂

Avec la démarche logique cartésienne la plus rationnelle et sincèrement objective, et en s’appuyant massivement sur les mathématiques statistiques qui laissent toujours méthodiquement une chance à l’impossible (cf loi de Murphy), les chances que, ici, ça marche dès le premier millionième de seconde sont rigoureusement de ZERO. Sans aucun terme de lambda. Juste nulles.

Pour la prochaine fois (incoming features)

  • RETROECLAIRAGE LED : je n’ai pas intégré d’emblée des LED sous la demi-douzaine de pièces principales (supérieurs à 6cm) parce que j’ai galéré pour découper la vitre arrière en plexiglass à la scie à métaux et j’ai pensé que ça serait 100 fois plus compliqué d’y faire des dizaines de petits trous rectangulaires pour y faire entrer et sortir un ruban de LED en rétroéclairage.
    En fait, les petits trous dans le plexiglass se font très facilement et sans aucun risque d’ébrécher la vitre plexi de 2mm avec une Dremel (idéalement à moins de 8000 RPM et une fraise molle qui va creuser méthodiquement et avec précision le plexi sans le chauffer ni le faire fondre et le brunir). Maintenant que c’est collé plexi-contre-plexi à la colle à la maquette, c’est impossible à démonter/customiser.
  • INTERACTION A TRAVERS LA VITRE : il aurait fallu percer la vitre avant en verre pour y laisser passer les axes de rotation du bras de lecture et des trois plateaux, qui dès lors auraient été activables manuellement, à travers la vitre.

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Krak

Dompteur d'IA, machine prolifique à pisser du code de merde non commenté et pas opti depuis 1986, maître des traditions / maître-brasseur / grand malade à WoW, chasseur de gardiens à Ingress de 2014 à 2019, nerd sapiosexuel monomaniaque, amateur de piments 🌶️ au delà de 300.000 Scoville grâce à Stéphane Pécaut et de pizzas maison 🍕 grâce à Marloin, j'apprécie particulièrement les 3C (les chats 😼, le code et les choux de Bruxelles 🥦) & la philosophie du CCC.

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